Le blues du retour de vacances
Retour au travail suivant une semaine d’amour, de soleil et de simple plénitude. C’est dur! Mais bon, il faut bien gagner sa vie.
Toutefois, j’ai réalisé que cette petite semaine de vacances que je viens de prendre serait la seule et unique semaine complète passée avec mon amoureux cette année. Ouf! Certains jours je laisserais tout tomber. Mais comment, aujourd’hui, choisir entre une carrière pour laquelle on a étudié cinq ans et que l’on tente de bâtir depuis quatre ans et sa vie personnelle, amour, famille et tout. Car au rythme où ma carrière avance, je ne pourrai penser à fonder une famille avant longtemps. Je ne cesse de me déplacer d’une ville à l’autre, même d’un pays à l’autre. C’est intéressant, c’est l’aventure, c’est exaltant mais j’ai envie de m’arrêter et je n’y arrive pas. Mon travail, ma carrière, exige des changements constants, surtout les premières années. Mais il me semble qu’il y en a trop de premières années. Si j’avais su comment se passeraient mes débuts dans le merveilleux monde de la culture, j’aurais choisi une autre branche à l’université. Mais voilà, je suis en plein dedans et je dois vivre avec. Je n’ai ni le temps ni l’énergie de retourner à l’école, j’ai envie de fonder une famille avant mes 30 ans!
Mais, il faut je dois foncer et faire le meilleur avec ce que j’ai!
Toutefois, j’ai réalisé que cette petite semaine de vacances que je viens de prendre serait la seule et unique semaine complète passée avec mon amoureux cette année. Ouf! Certains jours je laisserais tout tomber. Mais comment, aujourd’hui, choisir entre une carrière pour laquelle on a étudié cinq ans et que l’on tente de bâtir depuis quatre ans et sa vie personnelle, amour, famille et tout. Car au rythme où ma carrière avance, je ne pourrai penser à fonder une famille avant longtemps. Je ne cesse de me déplacer d’une ville à l’autre, même d’un pays à l’autre. C’est intéressant, c’est l’aventure, c’est exaltant mais j’ai envie de m’arrêter et je n’y arrive pas. Mon travail, ma carrière, exige des changements constants, surtout les premières années. Mais il me semble qu’il y en a trop de premières années. Si j’avais su comment se passeraient mes débuts dans le merveilleux monde de la culture, j’aurais choisi une autre branche à l’université. Mais voilà, je suis en plein dedans et je dois vivre avec. Je n’ai ni le temps ni l’énergie de retourner à l’école, j’ai envie de fonder une famille avant mes 30 ans!
Mais, il faut je dois foncer et faire le meilleur avec ce que j’ai!
ok, ok je prend des notes:)
Posted by
Anonyme |
7:13 p.m.