L'obsession de la bouffe!
Je suis une obsédée de la bouffe.
Du moins en ce moment! Il y a maintenant une semaine que j’ai adhéré au programme Minçavi. Hé oui, quoi qu’ils ne paraissent pas sur la photo dans mon profil, j’ai quelques kilos en trop. Je dis bien quelques, ce qui veut dire une petite dizaine maximum. Mais que je n’arrive jamais à m’en débarrasser complètement. Je les ai perdus souvent, très souvent et ils sont revenus à chaque fois, de plus en plus difficiles à reperde.
Mon problème? J’aime manger, j’aime cuisiner, j’adore la bonne bouffe. Je ne mange pas mal, bien au contraire, plein de légumes de fibres et tout. Mais il semble que ce n’est pas assez. Et ne me parlez pas de sport, c’est une épreuve pour moi, je n’y prend que rarement plaisir, c’est plus fort que moi. L’an dernier je faisais un programme d’exercice dans un gym, que je recommencerai en septembre.
Toujours est-il que, ressentant le besoin d’un peu d’aide, je me suis inscrite au programme Minçavi. Et non, ce n’est pas une secte qui tente de me dépouiller de ma fortune comme se plait à le dire Chéri, c’est un programme de « bien manger ».
À la base, le programme prétend qu’une alimentation saine et équilibrée te permet d’être en bonne santé. C’est logique.
Il est basé sur le guide alimentaire canadien et je dois équilibrer mes journées de bouffe. Je dois donc, à chaque jour, préparer mon menu et compter mes portions « pour que ça fitte ».
Étant nouvelle au programme, j’ai l’impression de passer mon temps à calculer, peser, recalculer, tout mon menu de la journée. Il y a même des choses à calculer à la semaine en plus d’avoir à le faire entrer dans la journée. Je pense donc constamment à la bouffe, ce que je mangerai ce soir, ce que je pourrais faire demain…
Ne vous y méprenez pas, j’ai confiance au programme et je trouve que c’est génial, après une semaine je me sens bien et en pleine forme. C’est juste qu’il y a un temps d’adaptation et j’en suis à la phase obsession.
Ce soir c’est la pesée, on verra bien si le tout a fonctionné cette semaine!
Du moins en ce moment! Il y a maintenant une semaine que j’ai adhéré au programme Minçavi. Hé oui, quoi qu’ils ne paraissent pas sur la photo dans mon profil, j’ai quelques kilos en trop. Je dis bien quelques, ce qui veut dire une petite dizaine maximum. Mais que je n’arrive jamais à m’en débarrasser complètement. Je les ai perdus souvent, très souvent et ils sont revenus à chaque fois, de plus en plus difficiles à reperde.
Mon problème? J’aime manger, j’aime cuisiner, j’adore la bonne bouffe. Je ne mange pas mal, bien au contraire, plein de légumes de fibres et tout. Mais il semble que ce n’est pas assez. Et ne me parlez pas de sport, c’est une épreuve pour moi, je n’y prend que rarement plaisir, c’est plus fort que moi. L’an dernier je faisais un programme d’exercice dans un gym, que je recommencerai en septembre.
Toujours est-il que, ressentant le besoin d’un peu d’aide, je me suis inscrite au programme Minçavi. Et non, ce n’est pas une secte qui tente de me dépouiller de ma fortune comme se plait à le dire Chéri, c’est un programme de « bien manger ».
À la base, le programme prétend qu’une alimentation saine et équilibrée te permet d’être en bonne santé. C’est logique.
Il est basé sur le guide alimentaire canadien et je dois équilibrer mes journées de bouffe. Je dois donc, à chaque jour, préparer mon menu et compter mes portions « pour que ça fitte ».
Étant nouvelle au programme, j’ai l’impression de passer mon temps à calculer, peser, recalculer, tout mon menu de la journée. Il y a même des choses à calculer à la semaine en plus d’avoir à le faire entrer dans la journée. Je pense donc constamment à la bouffe, ce que je mangerai ce soir, ce que je pourrais faire demain…
Ne vous y méprenez pas, j’ai confiance au programme et je trouve que c’est génial, après une semaine je me sens bien et en pleine forme. C’est juste qu’il y a un temps d’adaptation et j’en suis à la phase obsession.
Ce soir c’est la pesée, on verra bien si le tout a fonctionné cette semaine!
Libellés : Ambivalences
