Demande spéciale
Voici donc, à la demande spéciale de KiltMan, mes impressions sur le fameux rendez-vous stratégique sur la culture de l’institut du nouveau monde.
Désolée pour ceux que ça n’intéresse pas, on se reverra au prochain billet…
D’abord le panel du vendredi soir était très intéressant.
Il faut savoir que la thématique de la fin de semaine était La culture québécoise : culture commune ou mosaïque d’identités?
Les interventions ont surtout traitées de la diversité des cultures sur le territoire et de leur intégration (ou non-intégration) à la culture québécoise, de l’éducation comme base de la culture de la société, de la place de la famille dans la transmission de la culture, de la créativité issue du côtoiement de différentes cultures et de la place de la religion dans la culture publique.
Que de sujets, vous imaginez les débats, surtout dans l’ambiance actuelle qui règne sur les accommodements raisonnables.
Les panels du vendredi ont été très intéressants. Toutefois, ce sont les ateliers du samedi qui ont constitué le nerf de l’événement. Chaque table devrait faire des constats sur la culture québécoise actuelle, réfléchir à ce que nous voulons que la culture devienne et proposer des pistes d’actions en ce sens.
Les débats ont surtout tourné autour de l’immigration, l’éducation et les enjeux régionaux. Évidemment, l’événement réunissait Québec et les régions avoisinantes les sujets sont donc ceux qui touche le plus ces régions.
Sans entrer dans le détail des recommandations et des discussions, il m’a semblé que les régions n’étaient pas suffisamment représentées. Ainsi, on a beaucoup parlé de multiculturalisme, plus propre à Québec qu’à la Beauce. De plus, la moyenne d’âge étant très élevé, les résultats des débats ne reflétaient pas beaucoup la perception de la culture par les jeunes.
En résumé, les recommandations sont de conserver la langue française comme pilier identitaire de la culture québécoise, de faire de l’école un lieu d’apprentissage de la culture citoyenne, de favoriser encore plus la dispersion des immigrants à travers les régions du Québec (pas seulement Montréal) et enfin de considérer la spiritualité comme un élément individuel et non communautaire ou public.
C’était du moins la perception que j’ai eu de ce rendez-vous sur la culture pour les régions de la Capitale Nationale et de Chaudière-Appalaches.
De retour bientôt avec des billets plus loufoques et sans réflexion nécessaire, promis!!
Désolée pour ceux que ça n’intéresse pas, on se reverra au prochain billet…
D’abord le panel du vendredi soir était très intéressant.
Il faut savoir que la thématique de la fin de semaine était La culture québécoise : culture commune ou mosaïque d’identités?
Les interventions ont surtout traitées de la diversité des cultures sur le territoire et de leur intégration (ou non-intégration) à la culture québécoise, de l’éducation comme base de la culture de la société, de la place de la famille dans la transmission de la culture, de la créativité issue du côtoiement de différentes cultures et de la place de la religion dans la culture publique.
Que de sujets, vous imaginez les débats, surtout dans l’ambiance actuelle qui règne sur les accommodements raisonnables.
Les panels du vendredi ont été très intéressants. Toutefois, ce sont les ateliers du samedi qui ont constitué le nerf de l’événement. Chaque table devrait faire des constats sur la culture québécoise actuelle, réfléchir à ce que nous voulons que la culture devienne et proposer des pistes d’actions en ce sens.
Les débats ont surtout tourné autour de l’immigration, l’éducation et les enjeux régionaux. Évidemment, l’événement réunissait Québec et les régions avoisinantes les sujets sont donc ceux qui touche le plus ces régions.
Sans entrer dans le détail des recommandations et des discussions, il m’a semblé que les régions n’étaient pas suffisamment représentées. Ainsi, on a beaucoup parlé de multiculturalisme, plus propre à Québec qu’à la Beauce. De plus, la moyenne d’âge étant très élevé, les résultats des débats ne reflétaient pas beaucoup la perception de la culture par les jeunes.
En résumé, les recommandations sont de conserver la langue française comme pilier identitaire de la culture québécoise, de faire de l’école un lieu d’apprentissage de la culture citoyenne, de favoriser encore plus la dispersion des immigrants à travers les régions du Québec (pas seulement Montréal) et enfin de considérer la spiritualité comme un élément individuel et non communautaire ou public.
C’était du moins la perception que j’ai eu de ce rendez-vous sur la culture pour les régions de la Capitale Nationale et de Chaudière-Appalaches.
De retour bientôt avec des billets plus loufoques et sans réflexion nécessaire, promis!!
Libellés : La fille au travail
Je pige kedalle!
Je sais que tu le sais, mais fallait que je le dises. :D
Posted by
Dave Girard |
3:05 p.m.
Hé bien, imagine, mon travail ressemble à ça à tous les jours!
:)
Posted by
Rockin' Mama |
3:53 p.m.
Ça sonne un peu pelletage de nuages tout ça :)
Gharl et moi, je pense qu'on est plus dans le... concret.
Posted by
Anonyme |
4:31 p.m.
Merci beaucoup de t’être donné la peine d’écrire ce compte rendu c’est très apprécié, sincèrement .... gros becs sur les joues pour ça
Je ne suis pas surpris des conclusions mais pas nécessairement en accord avec celle-ci. Le maudit problème est encore la représentation générationnelle comme tu le mentionnes avec la moyenne d’âge élevée, ça représente juste une vision de la culture ..... et surtout que cette génération là est pas mal plus axé sur les principes fondamentaux que l'action
Par contre j’aurais donné cher pour te voir à la rencontre des bloggeurs. La tite madame un peu gorlotte ……….. que ça devait être drôle
Je te donne la permission de me taggué pour n’importe quoi maintenant que tu m'as écrit ce compte-rendu
Posted by
Medic |
11:09 a.m.
@ l'Homme au Kilt: c'est noté pour la tag.. gnak gnak gnak...
;)
Posted by
Rockin' Mama |
1:00 p.m.